
Dora, Morges
Je viens régulièrement quand il fait beau. Chaque jour c’est un spectacle différent, c’est génial ! On approche des huitante ans, le temps passe très vite et encore plus si on reste au lit. Quand on se lève le matin, ça donne de l’énergie, on rencontre d’autres gens… Il faut marcher, bouger et profiter tant qu’on le peut encore !
Je prends des photos que j’imprime directement chez moi, sans les retoucher, et je fais des cartes que je vends au profit de la paroisse et des bonnes oeuvres. Et ça marche ! Les gens aiment bien.
Nous avons tous le même soleil ! Si tout le monde prenait la peine et le temps de voir la même chose, il n’y aurait plus de guerre sur la Terre…
Dora, rencontrée au Parc de l’Indépendance
Autres histoires de Vaudois·es
Dans quelle localité souhaitez-vous vous rendre ?
Quel thème souhaitez-vous explorer ?

Delphine
« Je fais partie des gens qui pensent que l'histoire qu'ont nos objets nous font du bien au quotidien. Quand on se sent seul ou qu'on a un petit coup de blues, on regarde un objet et cela fait remonter du positif ! »

Karla
« Chacun·e devrait être libre de pouvoir s’exprimer, et que ses opinions soient respectées comme elle devrait respecter celles des autres. »

Emre
« Mon challenge, autant professionnel que privé, c’est d’amener du bien dans tout ce que j’entreprends. J’essaie de créer un monde meilleur à l’échelle locale.  »

Fredo
« Ça a été un gros coup dur de voir mon rêve d’être musicien professionnel s’envoler à cause de mon âge. Alors je me suis remis à jouer pour moi, pour le plaisir. Je suis un musicien pas professionnel mais qui s’éclate et c’est ce qui compte ! »

Amélie
« Quand on parle de réussite, on pense souvent à l’aspect professionnel et au regard des autres, alors qu’au final les critères de notre réussite doivent être fixés par nous-même et personne d’autre. »

Nathalie
« Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »

Célia
« Il faut se battre, il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers. Il faut positiver, regarder devant. Au lieu de se plaindre on préfère garder notre énergie pour se projeter dans le futur ! »

Laetitia
« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »