
Nathalie
Ce qui me motive à me lever le matin, ce sont les rencontres que je vais faire dans la journée. Dans mon métier de kinésiologue, je rencontre beaucoup de gens et à chaque fois, il y a quelque chose qui se passe. Bien sûr, le but principal est de faire un travail ensemble, mais devant moi il y a avant tout une personne, avec son histoire et son individualité. Ce sont des surprises au jour le jour !
Il y a des rencontres qui me touchent beaucoup, avec des personnes de tous les âges : un bébé, un enfant, une personne âgée… des interactions qui touchent vraiment au coeur.
Et les meilleures rencontres, ce sont souvent les plus spontanées !
Nathalie, rencontrée dans la Grand Rue à Morges
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Marie-Laure
« Je n’ai jamais été du genre à me jeter dans le vide sans filet, mais cette expérience entrepreneuriale m’a aussi appris à prendre des risques en ne contrôlant pas tout à 100%. »

Virginie
« En Suisse comme ailleurs, on se rend compte que la majorité des gens sont bienveillants et qu’on met trop en avant ceux qui sont médisants ! »

Dora, Morges
« Si tout le monde prenait la peine et le temps de voir la même chose, il n’y aurait plus de guerre sur la Terre… »

Manu
« Personnellement, je serais pour qu’on mange de la viande et du poisson une fois par semaine, mais qu’il vienne de chez nous et qu’il soit issu de la pêche responsable comme la pratiquent les pêcheurs suisses. C’est sûr que ça a un prix, mais c’est la valeur réelle de ces produits. »

Vincent
«  Une fois on m’a dit « donne et oublie, reçois et souviens-toi », c’est une phrase qui m’a marqué et dont j’essaie de me souvenir au quotidien. »

Amélie
« Quand on parle de réussite, on pense souvent à l’aspect professionnel et au regard des autres, alors qu’au final les critères de notre réussite doivent être fixés par nous-même et personne d’autre. »

Kooka-Coffee, une expérience au-delà du café
« À mon retour en Suisse, je me suis presque interdit de boire du café tellement il ne me convenait pas. Alors je me suis dit, pourquoi ne pas le faire moi-même ? »

Emilie et Jonas
« J’ai l’impression de ne pas vraiment travailler alors qu’on passe tout de même dix heures par jour six jours sur sept, et ça c’est plutôt bon signe ! »
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