
Nemrod
Beaucoup de gens se conditionnent négativement et se préparent à affronter des problèmes sans savoir s’ils se produiront vraiment, créant une anxiété qui n’a peut-être même pas lieu d’être.
Personnellement, j’ai de la peine à anticiper les choses, à me projeter. Cela peut être vu comme un défaut, mais cela me permet aussi de ne pas avoir d’anxiété car je ne me crée pas des angoisses pour rien. J’ai un vécu qui fait que j’ai un bon feeling et qui me permet de savoir où je vais. J’ai besoin de faits réels et d’éléments concrets pour prendre des décisions.
Comme je vis beaucoup dans le moment présent, j’aime beaucoup la spontanéité et les choses simples. Du coup, ce que j’apprécie par-dessus tout, c’est le partage et l’amitié. Je suis assez extraverti, j’aime les gens simples et généreux alors j’essaie de l’être aussi. Pas forcément au niveau financier, mais pour partager des moments conviviaux et chaleureux et amener du plaisir aux gens. J’ai besoin de ça.
Ma passion pour le café est un prétexte pour être entouré de gens, pour rassembler. J’aime découvrir des saveurs, perfectionner l’extraction d’un bon café… c’est une vraie passion dans laquelle j’ai appris énormément au niveau des goûts. Mais boire un café c’est comme boire une bière: j’ai de la peine à le faire seul. Par contre, en groupe c’est un super moyen de lier des amitiés. J’ai besoin de contact humain.
Même si au boulot je travaille dans une cave, je ne suis pas un ermite !
Nemrod, photographié chez SB Sport à Gland.
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« Passé un certain âge, tu commences à avoir envie de vivre un peu différemment. »

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« L’un des challenges que j’ai au quotidien, c’est de gérer mon emploi du temps. C’est parfois compliqué de prendre le temps de tout faire, et de vivre à fond ce qu’on fait sur le moment. »

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« J’aime les gens, les rencontrer, leur parler, les faire rire… et cette année, je souffre pas mal de ne pas pouvoir le faire. »

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« Quand tu penses à l’immensité du monde, nos petits problèmes du quotidien peuvent paraître assez insignifiants. »

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« Quand on est dans l’ambiance du voyage, je ne sais pas si on est conscient de tout ce que l’on fait. Avec le recul, ça parait un peu fou, trois étudiantes seules dans une aventure pareille, je ne sais pas si on le referait ! »

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« En Suisse comme ailleurs, on se rend compte que la majorité des gens sont bienveillants et qu’on met trop en avant ceux qui sont médisants ! »

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